Le calendrier Hébraïque est constitué de fêtes, de jours saints qui symbolisent des enseignements sur l’entité du peuple Juif. Elles sont constituées des 7 Fêtes calendaires qu’on appelle les fêtes de l’Eternel, dont les Shalosh Régalim (3 Fêtes de pèlerinages) et qui constituent le socle du judaïsme. Puis les autres fêtes, toutes aussi importantes, car elles illustrent la traversée du peuple Juif aux travers des siècles par les événements qui constituent son Identité.
Le mot Rosh (Tête) Hashana en hébreu signifie le début de la tête, c’est le Nouvel An Juif et se situe toujours vers la fin du mois de septembre ou début d’octobre. Comme à chaque nouvelle année, Elle dure 2 jours et aussi comme toujours en cette circonstance, c’est l’occasion bien sûr de faire la fête, par des repas et des prières de remerciements d’avoir été préservé durant l’année écoulée, mais aussi de faire une rétrospection sur l’année écoulée et, également, préparer les fêtes de TICHRI du mois suivant qui annoncent des jours de contritions sur notre comportement envers D.IEU, mais aussi les uns envers les autres.
Mais ça reste avant tout des moments fort agréables de se partager des vœux et de se souhaiter SHANA TOVA (Une Bonne Année)
TSOM (JEUN) DE GUEDALIAH Fait partie de l’un des 4 importants Jeûnes dont les prophètes en parlent dans la Torah, surtout dans le livre de ZACHARIE. Guédaliah Ben Ahikam était le dernier gouverneur de la Judée, dont le but de la mission était la reconstruction du Temple qui fut détruit par NABUCHODONOSOR. Il fut assassiné par Ismaël Ben Nathanya, un mécréant Juif de la lignée royale, le jour de la fête de Rosha Hachana, par jalousie. Cependant, le jeûne fut reporté le lendemain, car il est interdit de jeûner un jour férié
YOM KIPPOUR est la première fête du mois de TICHRI (Considéré comme le premier mois de l’année) Juste après Rosh Hashana. Le fait de débuter après le Nouvel An, c’est une façon d’entamer la nouvelle année dans un nouvel état d’esprit, en rejetant nos fautes passées, expiant nos péchées et autres transgressions commises les uns envers les autres, par une grande Techouva (confession) qui dure une journée.
Elle s’annonce par le son du Shofar (corne de bélier) par des longs sons, stridents et répétitifs, comme une plainte, une façon de réveiller les consciences sur nos fautes passées. Toutes nos fautes sont revues, confessées et pardonnées. Une sorte de remise à niveau inter-relationnel.
SOUCCOTH -(Cabanes ou Tentes) Débute le 15 Tichri du calendrier hébraïque (Octobre), et dure 7 Jours. C’est surtout , la période qui relate le séjour des Bénés Israël dans le désert à leur sortie d’Egypte, ils étaient nomades, et vivaient dans des cabanes qu’ils pouvaient démonter et reconstruire au gré de leur parcours et dans les SOUCCOTH ( Pluriels de SOUCCAT qui veut dire Cabanes) où ils demeuraient, et dont la partie du toit était ouvert au ciel. Et cette fête d’automne était aussi la période de la récolte, qui durait 7 jours. Quelle est la symbolique de cette fête ? En fait, la cabane faite de branches, de rameaux et autres feuillages, représente en fait la fragilité de la matérialité des choses sur lesquelles l’homme ne doit pas plutôt s’appuyer, mais sa dépendance à la protection divine de DIEU.
Le sens de la fête de SOUCCOTH C’est avant tout la fête de l’hospitalité ou les cabanes sont ouvertes à tous, et à l’étranger en priorité qui serait de passage, car on ne sait jamais qui pourrait être cet étranger ! Peut être un envoyé de DIEU ? Puis aux familles dans un esprit d’amour et de partage. Pendant la semaine de la célébration, comme il est décrit dans VAYKRA (Lévitique)22 :26-23 :44)et aussi dans Bamidbar (Nombres)29 :12, on agite 4 espèces de plantes: le Loulave, la Myrte le Cédrat et la Saule vers les 4 points cardinaux ; du bas vers le haut pour signifier la montée vers DIEU, notre attachement et notre reconnaissance. Il faut savoir que ces 4 plantes qui seraient d’une façon très symbolique la représentation de l’humanité toute entière aux travers de chaque type de personne.
CHEMINI ATSERET – Est une fête qui fait suite à Souccoth le 8 ieme jour. Son rôle est de faire monter des prières à DIEU pour Invoquée la pluie sur la Terre d’Israel. Elle ne complète pas Souccoth, elle est une fête par elle-même. Elle était très respectée à l’époque du temple lors des grands rassemblements, et ces pratiques sont encore observées dans les Synagogues. Elle est souvent associée à la fête de Simha Torah
SIMHA TORAH – Le jour suivant la fête de Chemini Atseret, quelque part prolonge cette fête, mais aussi la joie célébrer la Torah qui à nourri notre néchama durant l’année écoulée. Et aussi recommençons immédiatement le cycle annuel de lecture de la Torah. Ce moment est marqué par des débordements de joie, de chants, de danses dans les rues, en faisant sept tours en portant les rouleaux de la Torah et en se l’a transmettant de sorte que tout le monde puisse y participer.
HANOUKA – (qui signifie Dévouement) La fête de Hanouka est célébrée au mois Kislev ou Thevet (décembre) C’est avant tout la victoire de la lumière sur l’obscurité. Elle part d’une tragédie, comme souvent, d’ailleurs, on peut noter que toute la vie du Peuple Juif est émaillée de drames, tragédies, déportations, esclavagismes, et de tentatives d’exterminations. On serait à se poser la question toute simple : POURQUOI ?
La réponse pourrait être dans l’histoire de Hanouka . Tout part de ce roi ANTIOCHIOS en l’an 175 de notre ère, ou pour unifier son royaume à sa religion et forcer les JUDEENS à s’y plier, ils s’emparèrent du temple de Jerusalem, et forcèrent les Juifs se soumettent à leur divinité le dieu Grec ZEUS. Et usèrent de la force en détruisant tous livres sacrés, La Torah, les livres de Priéres, les objets des Offices, les Ménorah, et tous Juifs qui pratiquaient le Shabbat ou autres cultes à HASHEM étaient exécutés. À ces crimes, extractions, humiliations, profanations s’ajoutèrent, à cela la cruauté d’obliger les Juifs à manger du porc. Puis il eut alors un Jeune Juif JUDAS MACCABEE avec quelques amis se mirent en rébellion, et décidèrent de rétablir le service Divin et les offices, retrouver leur identité. Ils se cachèrent dans les ruines d’une synagogue et trouvèrent une fiole d’huile d’une petite quantité pouvant leur permettre d’allumer la Ménorah juste pour une journée.
Et en fait cette LUMIÈRE DURA 8 JOURS, ce qui leur permit de rétablir les offices, d’organiser la résistance et de retrouver leur dignité et leur liberté. Et c’est pourquoi, en mémoire de ce prodigieux miracle, nous allumons pendant 8 jours ces lumières partout dans le monde pour montrer la victoire de la Lumière sur les ténèbres.
C’est le 10ᵉ mois de Thevet du calendrier Hébraïque et qui rappelle une suite d’événements malheureux sous le règne de l’Empereur de Babylone Nabuschodonor. De la destruction du temple, aux déportations en exile Cependant DIEU leur envoya des prophéties et avertissement par le Prophète de JEREMIE. Non seulement il ne fut pas écouté, mais il fut jeté en prison
POURIM- qui veut dire SORTS, dans le sens de jeter un mauvais sort… Comme le fit l’odieux personnage central de cette histoire qui se déroula au mois de :TICHRI (OCTOBRE).
Toute l’histoire se passe dans la Mésopotamie (la PERSE à l’époque, et aujourd’hui l’IRAN) Celle d’une jeune Juive d’ESTER, devenue Reine et favorite du Harem du Roi ASSUERUS, et dont DIEU utilisa avec l’aide de son Oncle MARDOCHEE qui veillait sur elle et qui lui prodiguait des conseils pour anéantir le complot perfide d’un odieux personnage, et qui tira au sort le 13 ADAR, où le perfide : Aman, assoiffé de pouvoir, mais aussi de la haine des Juifs, devait proclamer la destruction totale et jusqu’à l’instinction définitive du peuple Juif. Et à l’évocation de cette fête chaque année, nous faisons un jeûne de 3 jours, (comme le fit Esther, avant de révéler au Roi ASSUERUS la perfidie de son fielleux Vassal, ) puis nous lisons la MEGUILLAH (le livre d’Esther) le récit complet de ce qui s’est passé, et surtout le miracle ou le MAUVAIS SORT se retourna contre Aman qui fut pendu en lieu et place au gibet qui avait érigé pour pendre MARDOCHEE. Et ce qui devrait être un souvenir de désolation, DIEU permit que cela soit devenu un grand moment de joies avec l’obligation de se faire des cadeaux, se déguiser et partager un somptueux repas de fête, pour changer les décrets de haine en des moments d’amour et de partages.
JEUN DU 10 TEVET C’est le 10ieme mois de Thevet du calendrier Hébraïque et qui rappelle une suite d’événements malheureux sous le règne de l’Empereur de Babylone Nabuschodonor. De la destruction du temple, aux déportations en exile Cependant DIEU leur envoya des prophéties et avertissement par le Prophète de JEREMIE. Non seulement il ne fut pas écouté, mais il fut jeté en prison
TOU BISHVAT – Qui veut dire : Le 15 du mois de Chevat (Février) ou : LE NOUVEL AN DES ARBRES. Comme l’homme, les arbres et fruits ont aussi leur nouvel an, et la Torah stipule que nous devons compter les années pour n’en consommer les fruits que tous les 4 ans. L’âge des arbres se comptent qu’à partir du moment où ils ont été planté, tout en respectant la SHIMTA qui consiste à laisser la terre en repos tous les 7 ans, ce qui permettait de différencier les années, et de ne pas mélanger et consommer les fruits anciens et les nouveaux. Quel sont les symboles à tirer de cette fête et de la relation des fruits par rapport à l’homme ? Plusieurs exemples sont cités, et celui qu’on retrouve plus fréquemment cité est que :
Dieu créa la nature dont les fruits et les plantes bien avant l’homme, et de ce fait l’Eternel lui confia la protection et le respect de la survie toute la flore car sa survie à lui en dépend
PESSA’H, c’est un mot hébreu qui veut dire « Passer par-dessus, ou à l’autre bord. » Mais c’est avant tout : La sortie d’une longue et pénible période d’esclavage en Égypte où DIEU par l’intermédiaire de MOSHE (Moise) sortit le peuple Juif des griffes de Pharaon. On commémore cette fête durant 8 jours. Elle est aussi appelée Hag Haaviv (Période de la Germination, liée au Printemps).
Au cours de cette commémoration, on célèbre cette fête par la HAGGADA ( récit des faits) ou on relate la sortie d’Égypte au cours d’une soirée qu’on appelle le SEDER (l’Ordre) ou justement la soirée se déroule selon la chronologie des faits, avec le récit des événements, les chants, et le repas dont les mets et ingrédients rappellent les durs moments de souffrance vécus sous le fouet et la soumission de l’Egypte, État cruel, dont l’orgueil fut brisé par les 10 Plaies que DIEU lui infligea pour libérer les Hébreux, mais également, pour manifester aux autres nations sa puissance et protection envers son Peuple. Au cours de ce repas, on trouve sur le plateau les éléments mentionnés dans la TORAH : Des pains Azymes, pain de la liberté et de la pauvreté, mais aussi le pain sans Hamets (levain) élément qui représente l’orgueil qui anime certains individus) par ailleurs, 5 éléments sont interdits : Le Blé, l’Orge, l’Épeautre, l’Avoine, et le Seigle.
Sur le plateau, on y trouve également : Le Karpass (céleri ou cerfeuil qu’on trempe dans l’eau salée avant de manger, le Maror (herbes amères qui représentent l’amertume), l’Os (le sacrifice de l’Agneau qui avait été fait 3 jours avant la sortie d’Egypte) de l’eau salée (qui rappellent les larmes des esclaves), et également l’Harosseth (un mélange de pates de fruits concassée qui évoque le mortier pour faire des briques) et un Œuf brulé sur un coté qui symbolise la vie et la mort. Dans cette fête de Pessa’h un chiffre retient l’attention, c’est le chiffre 4. Et de ce fait nous trouvons d’abord les 4 Kossot (coupes) de vin, bus lors du repas, avec les promesses de DIEU à son peuple, et énoncées par l’assemblée à chaque coupe prise durant le repas :
1/ Je vous prendrai (Je vous libérerais de l’esclavage et vous sortirais d’Egypte)
2/ Je vous sauverai ( Suivant l’ordre de Pharaon de tuer tous les premiers nés hébreux)
3/ Je vous délivrerai(de la faim , de la soif , durant cette dure traversée du désert )
4/ Je vous amènerai ( Vers une terre nouvelle et des cieux nouveaux, dans le pays ou coulent le lait et le miel, cette terre nouvelle d’Abraham, Its’aak, et de Yakov.
Puis Il y a également les 4 Lettres Hébraïques composant le tétragramme de DIEU : Le YOUD, HE, VAV, HE, qui s’adresse à tous. Puis il y a aussi les 4 Fils dont on parle lors du Seder de PESSA’H dans La HAGGADA qui nous explique que la TORAH s’adresse à 4 Fils : Le Sage, l’Impie, le Simple, et Celui qui ne sait pas poser des questions. Et cette énigme parle à l’humanité toute entière car elle symbolise, les différentes couches de la société qui divise le monde, et en fait chacun y trouverait sa réponse s’il se donnait la peine de retrouver son Identité dans la TORAH selon le Midrash
La fête des semaines ou le Don de la TORAH. Le mot SHAVOUOT c’est le pluriel de SHAVOUA qui veut dire semaine au singulier. Elle commence le 6 Sivan, et dure 2 jours. Elle arrive 49 Jours après PESSA’H soit 7 semaines plus tard. C’est aussi la fête des prémices, des premiers fruits et autres récoltes qu’on apportait au temple.
Par rapport aux autres événementiels, cette fête est marquée par des faits très importants dont le principal est le Matane Torah ou : Le don de la TORAH qui a été donné au peuple par DIEU sur le mont du Sinaï à Moshé après qu’il eut passé 40 jours au sommet de cette montagne. L’élément majeur de cette fête, c’est qu’elle découle d’un Rendez-vous d’Hashem avec son peuple, même si paradoxalement et selon le Midrache, les enfants d’Israël ne s’étaient pas réveillés à temps pour se présenter au rendez-vous au pied du SINAI.
Dans la Torah, par rapport aux autres fêtes, elle se différencie par son caractère Agricole et en relation avec les pratiques cérémoniales faites au temple lors des pèlerinages. Cette fête présente également quelques particularismes par d’autres événements qui ont eu lieu à d’autre époque, mais sur cette même période. L’histoire de ROUTH(Ruth) la Moabite qui par amour pour sa belle Mère Naomi, à la mort de leurs conjoints toutes les deux, Ruth s’attache à elle et se convertit au judaïsme avec cette merveilleuse confession de foi « Partout où tu iras, j’irai, où tu demeureras, je veux y demeurer, ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu, là où tu mourras, je veux aussi mourir et y être enterrée… » Elle devint de ce fait la première convertie de l’histoire. Elle épouse BOAZ, un parent à Naomi et de cette union naquit la descendance du roi David.
LAG BAOMER – Signifie : les 33 jours de l’Omer ; et qui intervient entre la fête de Pessa’h et de Shavouot pendant le décompte de l’Omer (qui est une mesure agricole), c’est une fête qui commémore la mémoire d’un grand Sage CHIMON BAR YO LAI .
Cette fête marque aussi le décès des 24000 étudiants juifs disciples de Rabbi AKIVA, l’un des fondateurs du Judaïsme Rabbinique qui trouvèrent la mort suite à une mystérieuse épidémie qui prit fin le 33ieme jour de l’Omer .A cette fête on allume des feux de joies pour se remémorer qu’à la mort de Rabbi CHIMON BAR YO LAI , (qui resta 12 ans dans une grotte pour traduire la Torah) à son décès le jour de Lag Ba Omer , la pièce où il fut exposé , la lumière était si intense que ses disciples ne pouvaient ni le toucher ni le regarder. C’est pourquoi à cette évocation à Lag Ba Omer on allume des feux et on présente des requêtes à Dieu
C’est un jour de Jeûne, où se sont passés des événements malheureux et aussi quelques années plus tard à cette même date.
Il y eut par exemple lors de la destruction du second Beit Hamigdash (Le Temple) le despotisme de la Grèce qui se manifesta par la destruction des rouleaux de la Torah.
C’est également un jour du souvenir de la faute du veau d’or commise par les Hébreux en l’absence de Moshe qui était monté recevoir la Torah sur le mont du Sinaï.
Ce jour de ce Jeûne on fait monter des prières de Techouva (repentance) pour que le souvenir de cette faute soit à jamais effacée
Le 9 Av commémorent de tristes dates de l’histoire juive, comme l’épisode des explorateurs, l’expulsion des Juifs d’Espagne en 1492, de nombreux pogromes mais surtout la destruction des deux Temples de Jérusalem.
Les garçons à partir de treize ans et les filles à partir de douze ans doivent jeûner depuis la veille à partir de 21h jusqu’au soir. En cas de maladie ou de faiblesse, on consultera un Rabbin compétent à propos du jeûne.
Le 9 Av, on ne se lave pas, sauf les mains le matin, ou pour des raisons d’hygiène.
Jeudi matin, on ne récite pas la bénédiction : « Chéassa Li Kol Tsorki » (« Qui veille pour moi à tous mes besoins ») car on ne porte pas de vraies chaussures en cuir.
Jeudi matin, on fait la prière sans Talith ni Téfilines, ni Ta’hanoun et on lit les « Kinot ».
On n’étudie pas la Torah, (sauf certains passages de Jérémie par exemple), et on assiste à un « Siyoum », à la conclusion du traité Talmudique Moèd Katane (que l’on peut aussi écouter sur Radio J – jeudi vers 14h 30).
Jusqu’au milieu de la journée de jeudi (environ 14h) on ne s’assoit pas sur une chaise mais seulement sur un petit tabouret, en signe de deuil. On évite de dire bonjour, sauf aux personnes qui ont oublié qu’on ne se salue pas le 9 Av.
Jeudi après-midi, on met Talith et Téfilines pour la prière de Min ‘ha et on rajoute les passages « Na’hem » (« Console les endeuillés de Sion ») et « Anénou » (« Réponds-nous »).
Jeudi soir, à l’issue du jeûne, on se lave les mains rituellement (sans bénédiction) et on se rince la bouche. On enlève les chaussures en toile et on remet les chaussures en cuir. On prononce la bénédiction de Kiddouch Levana pour la lune.
On peut s’occuper du linge (lessive?) dès vendredi matin 31 juillet 2020. On ne mange la viande qu’à partir de vendredi après-midi 31 juillet.
C’est le jour de la destruction du temple, livré aux flammes et au pillage après un siège de trois semaines. C’est aussi la fin du règne de la Judée et la déportation des Juifs en Babylone
Les 4 autres fêtes à caractère historique sont à commémorer pour d’une part, ne jamais oublier et d’autre part, elles sont ancrées dans l’Adn du peuple Juif.
Yom Ha shoah- (Jour de la Shoah): Souvenirs des 6 millions de nos Frères et Sœurs, parents et enfants déportés de plusieurs pays, et morts dans les différents camps nazis.
Yom Hazikaron (Jour du souvenir) Pour se rappeler des victimes des différentes guerres d’Israël
Yom Haatsmaout :(Jour de la réunification) Jour de l’indépendance de l’Etat d’Israël
Yom Yérusalayim : Jour de la fête de Jérusalem
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